Le dépistage et le diagnostic précoce du cancer colorectal augmentent les chances de guérison. Fréquent chez les hommes et les femmes à partir de 50 ans, on peut le guérir quand il est détecté à temps. On peut même l'éviter, en traitant les polypes avant leur évolution vers une forme cancéreuse. Le cancer colorectal peut survenir dans le cadre de formes familiales : il est alors plus fréquent dans ces familles. Des démarches particulières sont discutées et proposées avec les personnes potentiellement concernées. Les objectifs du traitement dépendent du stade de votre cancer : guérir en cas de maladie localisée ou freiner la progression en cas de cancer plus avancé. Le traitement, adapté à la situation de chaque patient, peut comporter une chirurgie, de la chimiothérapie, une thérapie dite "ciblée" et de la radiothérapie. Le cancer primitif du foie est très rare en France, mais sa fréquence augmente. Sa forme la plus répandue est appelée hépatocarcinome ou carcinome hépatocellulaire. Une phlébite est la conséquence d’un caillot de sang dans une veine. Elle est accompagnée d’une inflammation locale. La phlébite est également appelée thrombose veineuse ou thrombophlébite. La douleur chronique a souvent des impacts multiples. Un certain nombre d’outils ou plutôt d’échelles permettent à votre médecin d’analyser et de qualifier votre douleur chronique (qui dure depuis plus de 3 à 6 mois). Cette évaluation est essentielle pour la prendre en charge. Vous avez par exemple été opéré, ou avez mal suite à une chute. Afin de pouvoir soulager cette douleur aigüe de manière adaptée, votre médecin doit l’évaluer et quantifier son intensité. Des échelles spécifiques sont à sa disposition. Différents examens complémentaires sont nécessaires pour préciser l’étendue de la tumeur. Les résultats de ces examens permettront ensuite d'adapter au mieux le traitement à votre situation. |
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Novembre 2017
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